{100%} AYMERIC ♫ To much is never enough

❝ [i]let's proceed to the interrogatory ❝

« T'ES MALADE! T'AURAIS PU ME TUER! » Je poussai un soupire en prenant une bonne respiration de cette bonne vielle cigarette que j'ai toujours entre les dents. Je regardai ce dit ami en grognant, j'avais encore manqué mon coup. Je devais faire attention pour pas qu'il découvre ce que j'étais. J'avais déjà tué auparavant, mais lui, il me donnait tu fils à retorde. Je retirai la cigarette d'entre mes lèvres et le fixé droit dans les yeux, si j'allais le tué, pourquoi faire attention à ce que je suis? D'un large sourire je posé ma main sur son épaule et regardé l'ombre agir. Quittant ma main, l'ombre se propagea autour de lui et l'enroba d'une vitesse fulgurante. Je le lâchai ensuite l'entendant hurlé. Il ne pouvait plus bouger et la peur s’emparait de lui. Je m'éloignai de lui lançant le restant de ma cigarette au sol pour m'en rallumer un autre. Je levai ma main au ciel après avoir mit mes écouteurs dans mes oreilles et je fermai le point tout en le redescendant vers moi. Enterré par la musique, je savais qu'il hurlait à l'aide, mais personne ne pouvait l'aider. Tournant légèrement la tête, je serrai encore plus mon poing jusqu'à ce qu'une coulisse e sang coule contre mes doigts. J'ouvris rapidement ma main le voyant s'éparpillé un morceau. Un bout de sa chair vint se coller contre ma veste, dégoûté, je la retirai du bout des doigts et la jetai au sol en grimaçant. Même mort, il était toujours aussi collant. Je sautai dans ma voiture et quittai le bar aussi rapidement que j'étais arrivé trois heures plus tôt, avec l'ide en tête de tué cet saloperie d'humain pathétique. Je lui répondis finalement. « Désolé Marco, mais te tué était mon idée... »

Quelques temps auparavant, un truc bizarre est arrivé, non, c'était plutot quelqu'un de bizarre. J'étais chez moi, paisiblement en train de fumé une cigarette que ma porte s'ouvris d'elle même laissant entré un étrange personnage. Je me redressai laissant glissé mon plaisir de mes lèvres. La cendre se répandit à mes pieds Je courus vers la cuisine, mais je fus soulevé de terre. Je fis tout pour m'immobiliser et tourné la tête vers l'inconnu, je plissai les yeux, non il me disait rien. Bizarrement, je retournai sur mes pieds et je fis bougé mes genoux en grimaçant, ça chatouillais. Je mis mes mains ensemble et fit bouger mes épaules pour les faire craqué, c'est là que la voix de l'inconnu retentit. « Des genoux en titane... L'accident à dut être dure pour qu'il te change les deux genoux... Erik Lenscher. Je sais ce que tu es et je voudrais que tu te joins à moi. Tes pouvoirs nous sera très utile. » J'eus un rire et je m'avançai vers lui Et m'allumé une cigarette, encore. « Contre quoi. » Je lu soufflai au visage en regardant ceux qui était avec lui. « Contre les humains. » Je levai les yeux vers lui et approuvé d'un signe de tête, les humains avaient bousillé mon plaisir et j'avais besoin de m'amuser avec eux. J'allais me joindre à se mec bizarre. Je m'éloignai de lui m'enfermant dans ma chambre pendant quelques minutes Je revêtis ce traditionnel pantalon noir déchiré, ce chandail noir où j'avais inscrit : « Death to humanity » Je sortis de la chambre et agrippai mon coat de cuir noir avec Scath inscris dans le haut du dos. Je m'approchai de lui en prenait mess clefs qui se trouvait à ssa droite et enfilai mon chapeau. « On peut y aller m'sieur » Il eut un rire et s'éloigna vers la porte. on en sortit et je me dirigeai vers le garage. « Qu'est-ce que tu fais. » J'eus un rire et continuai mon chemin pour revenir avec une Harley Davidson. Je fis grondai le moteur avant de poser mes pieds à terre. « Je ne pars pas sans elle. »

« T'es un monstre Aymeric! UN MONSTRE! » j'aperçu mes frères et ma soeur me fuir. J'avais le coeur gros et j'avais une orage au dessus de ma tête. Je grognais, les poings serré. comment ma propre famille pouvait me rejeté comme ça. Je n'avait que dix ans. Croisant les bras je serrai les dents, je ne pouvais pas vraiment leur en vouloir. Mes parents ne les avaient pas crus se soir là. Quelques années après que mes frères et soeur l'aient découvert, je vivais toujours dans ma chambre ne sachant pas ce ui se passait dehors. Un jour, quelqu'un toqua à ma porte et j'entendis le hurlement de ma mère : « AYMERIC N'OUVRE PAS! » C'est à ce moment que je compris que mes parents étaient en danger. J'ouvris la porte et me retrouvai face à des hommes dans des costumes noir. Je figeai un moment avant de leur passer entre les jambes et de filer dans le corridor. J'avais quitté la maison sans me retourné, j'avais passé la nuit dehors. Le lendemain, quand j'étais revenu vers la maison, elle avait brûlé et j'avais entendu dire que ma famille aussi, c'était la fin du monde pour moi... Je n'avais plus rien. Je m'installai dans les ruines pendant deux ans, vivant un peu comme un sauvage quand un homme âgé vint me récupérer et m'amené chez eux.. J'y ai vécu tout mon enfance, mais après quelques temps je m'étais mit à faire des recherches sur ma famille, pourquoi est-ce qu'on ne me cherchait pas, pourquoi je n'étais pas porté disparu. Il y a quelques années, j'ai retrouvé mes frères et ma soeur quelque part dans le coin de New York. Furax, je m'étais rendu chez eux, ils habitaient tous ensemble, ma mère était morte et mon père à l'asile de fou. Il disait que c'était moi qui avait tué ma mère. Je défonçai la porte de chez eux et ils poussèrent des hurlement de frayeur. Je levai les mains et les fis taire. La pièce devint rapidement sombre et je les perdis de vus Je me déplaçai vers la droite les entendant gigoter, des gémissement de douleur se firent entendre, je serrai mon poing et ses gémissements devinrent des gloussement, comme s'ils se noyaient. Je serré mon poing et je sentis une pression sur moi et du sang remonta dans ma gorge, mais je restai droit comme si rien était. J'ouvris ma main d'un coup et l'ombre disparu tout comme ma famille. Par contre, j'étais couvert de chair et de sang. Je ne tenais plus sur mes jambes je tombai au sol. J'avais fait éclaté mes genoux, comme si j'étais tombé en bas de l'immeuble. Quelques mois à l’hôpital et j'étais sur mes deux pieds avec des genoux de titane.